
Indigeste d'ailleurs. Mais ce n'est pas le pire ! La comparaison avec Michael Jackson, qui occupe 1/4 du dossier, me paraît vraiment de mauvais goût. Comment peut-on à ce point instrumentaliser la mort de quelqu'un ?
Il va falloir que j'accepte rapidement l'idée que la mort de Michael Jackson sera une des plus belles mannes financières de ce début de siècle pour l'industrie du disque. Dans un mois on aura le DVD de ses dernières répétitions, à Noël le coffret spécial à 130 €, déjà une dizaine de bouquins en triptyque à la Fnac...